
Omega 007 James Bond Au service (secret) de sa majesté
L’Omega 007 est le garde-temps qui équipe James Bond; qu’il s’agisse de libérer une charmante espionne, de démanteler un réseau terroriste ou, plus simplement, de sauver le monde et James bond 007 peut compter sur une alliée à la pointe de la technique : sa montre Omega.

Omega 007 James Bond Seamaster Planet Ocean 600M – édition limitée
Tant qu’il s’agissait d’arriver à l’heure à une convocation de « M », le chef des services spéciaux britanniques, ou à un rendez-vous galant, à Londres, avec une créature de rêve, ce bon vieux James pouvait se contenter de la sonnerie de Big Ben. Mais dès que ses missions ont pris de l’ampleur – en résumé : sauver les gentils, tuer les méchants et donner un coup de main au Très Haut pour que God Save The Queen, 007 a dû passer à la vitesse supérieure question horlogerie. Et comme on ne sait jamais ce que réserve l’ennemi, c’est une montre aussi spéciale que le célèbre agent secret qui a été choisie par « Q », fournisseur officiel d’armes secrètes et de gadgets sophistiqués destinés aux espions de Sa Majesté : une Omega.
Sacré « Q » ! C’est à ce vieux ronchon que l’on doit déjà la fabuleuse Aston Martin DB5 dotée, entre autres, de mitrailleuses dans le pare-choc avant, de lames déchiqueteuses de pneus dans les moyeux de roues, d’un panneau pare-balles à l’arrière et surtout d’un siège éjectable. On lui doit aussi le stylo-pistolet. Rien d’étonnant donc que le Mister Gadget des services secrets anglais dote les agents du service d’une montre tout aussi spéciale. Ainsi, dans Bons baisers de Russie, c’est une cordelette d’étranglement que le facétieux inventeur dissimule dans le boîtier. Plus fort encore, dans L’espion qui m’aimait, il cache une imprimante pour télex. Nouveau pas en avant dans la créativité, en 1995, avec l’arrivée d’une Omega Seamaster Professional. Cette fois, dans Goldeneye, ce sont deux fonctions inattendues qui s’ajoutent au mécanisme : un rayon laser commandé à partir de la valve à hélium et un détonateur à explosifs. Et le spectateur n’aura pas à attendre bien longtemps pour voir cette montre magique à l’œuvre. James Bond fera appel au rayon laser, émis sur le cadran à 12 h, pour découper le plancher d’un wagon de chemin de fer et échapper à son ennemi. II se servira ensuite du détonateur intégré pour déclencher l’explosion de la salle de contrôle d’un satellite espion. De drôles de complications horlogères, certes non certifiées par le Cosc ou le Poinçon de Genève, mais néanmoins très efficaces !
La lampe et le grappin
Au terme de ce galop d’essai, le film suivant voit l’agent 007 revenir avec une version similaire de son Omega Seamaster : dans Demain ne meurt jamais (1997), c’est une grenade destinée à endommager le navire furtif du méchant que Bond fait exploser à l’aide du détonateur intégré dans sa montre. Gros changement dans l’aventure suivante, Le monde ne suffit pas. « Q » s’est creusé les méninges et a doté la montre de deux fonctionnalités inédites : une lampe et un grappin. Pas plus, pas moins ! L’éclairage surpuissant de la torche sera mis à contribution lorsque James sera emporté dans une avalanche, abrite à l’intérieur d’une espèce de gilet gonflable de protection. Quant au grappin, il s’avérera indispensable pour s’échapper d’un bunker. Son principe de fonctionnement? Rien de plus simple : un grappin miniature jaillit à grande vitesse de la couronne, faisant tournoyer la lunette de la Seamaster à toute allure. Une fois le grappin fermement ancré, la lunette se met à tourner lentement en sens inverse, enroulant le filin dans le boîtier de l’Omega et hissant Bond en lieu sûr. Allez donc trouver des montres de plongée capables de ce genre d’exploits ! Si « M » et « Q » cherchent comment baptiser le responsable du pôle horloger du service « armes et gadgets » des services secrets anglais, nous proposons « O ». O comme Omega…

Omega 007 James Bond Seamaster Planet Ocean 600M – édition limitée Skyfall : James Bond porte la montre Omega au poignet